Première Classe – Fantasme sur rails
Gangbang avec une trans
Cäline
5/18/20254 min read


Je suis montée dans ce train de nuit avec cette impression délicieuse d’entrer dans une bulle. Le wagon de première classe brillait d’un confort feutré, silence moelleux, lumière tamisée, fauteuils larges, épais, luxueux. Je voyageais seule, en robe légère, rien sous les cuisses. J’aimais me sentir libre sous le tissu. Déjà, une chaleur douce naissait entre mes jambes.
À 30 ans, je connaissais bien mon corps, et encore mieux mes fantasmes. Le train, le mouvement, l’interdit… c’était un décor idéal pour m’y abandonner. Les vitres reflétaient mon visage. Ma peau trahissait déjà l’excitation. Mon sexe vibrait doucement au rythme des rails.
L’agent de bord est passé en silence, m’a saluée d’un regard, puis a disparu dans le wagon suivant. Derrière moi, deux hommes se sont installés. Je sentais leurs présences animales. L’un sentait le cuir, l’autre le tabac blond. Je n’ai pas bougé. J’aimais leur respiration lente, contenue.
Le train a roulé une bonne heure. Quand il s’est arrêté à une gare minuscule, personne n’a bougé. Puis j’ai entendu la porte glisser. Une silhouette plus fine, plus souple que les précédentes, est montée. Son pas avait une élégance troublante. C’était une femme ? Non, un peu plus. Un corps mixte, magnifique, une créature entre les mondes. Une trans aux hanches pleines et à la mâchoire assumée, cambrée dans un tailleur noir trop ajusté.
Elle s’est assise en face de moi. Son regard m’a traversée. Mon ventre s’est tendu. Je savais. Ils savaient.
Tout a basculé très vite.
Le premier homme s’est levé. Il est venu derrière moi, ses mains larges posées sur mes épaules, puis sur mes seins à travers le tissu. Je n’ai pas protesté. Je me suis offerte. C’était mon fantasme depuis des années. J’ai basculé la tête en arrière. Mes tétons se sont durcis comme deux perles obscènes.
Le second homme s’est agenouillé. Il a passé sa langue sur mes genoux, puis mes cuisses, avant d’écarter lentement la robe. Il a grogné en découvrant ma chatte nue, trempée. Il s’est mis à lécher avec une faim animale, et moi, j’ai écarté les jambes sans retenue, les fesses posées sur le bord du fauteuil.
La personne trans s’est approchée lentement. Elle a défait son pantalon sans un mot. Une verge magnifique, ferme, fine, a jailli entre ses cuisses. Elle s’est mise à se caresser en me regardant, en se léchant les lèvres. Je n’étais plus une voyageuse. J’étais une salope offerte, une cochonne en transit.
Ils m’ont dénudée entièrement, sans brutalité mais sans tendresse non plus. Juste cette froideur érotique que j’adore, celle des hommes qui savent que je suis là pour être prise, salie, remplie. Mon corps entier brûlait. Le train roulait de nouveau. Chaque vibration se propageait à mon clitoris, comme un appel.
Je me suis retrouvée à quatre pattes sur le sol du wagon, mes seins lourds pendus entre mes bras, la chatte grande ouverte, offerte à l’homme au cuir. Il m’a pénétrée sans ménagement, dans un claquement de hanches et un râle animal. Sa queue épaisse m’a déchirée délicieusement. Je criais en silence, les dents plantées dans la moquette.
L’autre homme m’a prise par la bouche, me forçant à l’avaler à fond. Mes larmes ont coulé sur mes joues, mais mon sexe coulait encore plus. Je me sentais comme dans un fantasme de téléphone rose, sauf que là, tout était réel. J’étais cette cochonne qu’on prend dans un train, dans un silence moite et complice.
Puis la trans a pris place derrière moi, quand l’homme m’a laissé. Elle a pris sa queue en main, m’a caressée entre les fesses, et a pénétré mon anus lentement, profondément, jusqu’à me faire gémir en secouant la tête. J’étais doublement remplie : un dans ma bouche, une dans mon cul. Ma chatte ruisselait. Je n’étais qu’un trou à plaisir. J’adorais ça.
Le train continuait. Le rythme régulier des roues battait comme un métronome obscène. Chaque saccade me faisait jouir un peu plus. Je n’étais plus une femme. J’étais une créature lubrique, animale, offerte aux désirs des autres.
Ils m’ont retournée, me plaquant contre la vitre froide. Mes seins écrasés contre la paroi, les hanches ouvertes vers la cabine. Une main a giflé ma fesse, une autre a tiré mes cheveux. Je jouissais comme une putain qu’on prend dans un wagon privé.
La trans est revenue dans ma bouche. Je me suis appliquée à la sucer comme une experte, laissant sa verge briller de ma salive. L’homme au cuir s’est enfoncé dans mon sexe à nouveau, plus dur, plus brutal. L’autre me caressait le clitoris avec force. J’étais traversée de partout.
Je me suis mise à jouir à secousses, tremblante, écumante, comme une bête secouée de spasmes. Mon ventre s’est contracté, mes jambes ont cédé. Ils m’ont portée, me posant sur la banquette. Je n’étais qu’un corps écarté, offert à la suite.
Ils ont alterné. Chacun est venu dans ma bouche, entre mes cuisses, entre mes fesses. La trans m’a prise allongée, son regard brûlant dans le mien, sa queue dure glissant dans mon anus comme une lame chaude. Je hurlais sans un son, bouche ouverte, seins bondissants.
Mon corps était marqué, griffé, rempli. J’ai joui plusieurs fois, sans répit. Ils sont venus sur mon ventre, ma langue, entre mes seins. Le sperme a coulé sur mes hanches. Je l’ai léché comme une drogue.
Quand le train est arrivé à la dernière gare, il était encore tôt. Le wagon s’est vidé, comme si rien ne s’était passé. Je me suis rhabillée lentement, tremblante, le sexe encore douloureux et gorgé.
Dans ma tête, tout résonnait comme un appel.
J’étais devenue la fille des rails, celle qu’on imagine sur le téléphone rose, à gémir entre deux gares. Une salope de luxe, une putain mobile, une passagère du plaisir.