Il suffit qu’il appelle pour que ma chatte coule…
La secrétaire se transforme en animatrice de téléphone rose
Câline
5/12/20257 min read


Je le connais à peine. Juste un nom dans le fichier client. Un homme discret, professionnel, qui appelle régulièrement pour des devis, des contrats, des suivis. Rien d’excitant, en théorie. Et pourtant…
Sa voix est un poison. Grave, lente, posée. Chaque fois qu’il parle, c’est comme si ma culotte devenait inutile. Il suffit qu’il dise « bonjour » pour que mes tétons pointent sous ma chemise. Je ne l’ai jamais vu, mais son souffle au téléphone, sa manière d’attendre, de me laisser meubler les silences... ça me rend dingue. Une vraie cochonne, prête à me faire sauter sur place.
Ce matin-là, il a appelé encore. Juste pour « un point rapide sur le dossier en cours ». J’ai décroché d’une main, l’autre glissée déjà sur ma cuisse nue, cachée sous mon bureau. J’étais seule dans l’open space. La lumière du matin caressait mes cuisses, et ma chatte était trempée. Irrémédiablement mouillée.
Je me suis caressée en silence, pendant qu’il parlait chiffres et délais. Mon cerveau n’écoutait plus rien. Il aurait pu me parler chinois. Ce que je sentais, c’était mon doigt qui glissait entre mes lèvres, mon clito en feu, ma chatte qui réclamait ce que je ne pouvais pas lui donner : sa queue, sa bouche, son souffle.
Je me suis doigtée comme une petite salope, silencieusement, salement, dans ce bureau où je fais semblant d’être une fille bien. Mon jus collait à mes doigts, j’ai écrasé ma paume contre ma chatte, cherché cette pression qui me fait perdre tout contrôle. Je baisais ma main pendant que ce mec, là, au bout du fil, continuait à me parler sérieusement. Moi, je me branlais. Dans mon rôle de secrétaire modèle, je faisais l’amour au téléphone avec ma propre perversion.
Et plus je me touchais, plus je pensais à ces conversations perverses, ces échanges brûlants qu’on vend dans le téléphone rose. Moi qui n’ai jamais osé, jamais franchi le cap d’être hôtesse, je me rends compte que j’en ai tous les codes. Le frisson des mots, le plaisir à distance, le vice qui passe par le fil.
Avec lui, chaque appel est un téléphone érotique clandestin. Un sexe au téléphone déguisé. Il n’en saura jamais rien. Il ne saura jamais que j’ai joui comme une chienne pendant qu’il me parlait de ses besoins professionnels. Que ma chatte a explosé sur ma main pendant qu’il me disait « merci pour votre réactivité ».
Je me suis mordu la lèvre. Mon fauteuil a crissé. Mon jus coulait sur la chaise. J’ai joui, profondément, avec cette sensation interdite dans le ventre : celle d’être une hôtesse qui baise au tél, clandestine, invisible, cachée derrière une ligne professionnelle.
Je raccroche toujours avec le cœur qui bat et le doigt encore luisant. Et je sais qu’au prochain appel, je recommencerai. Parce que dans ma tête, je suis devenue une putain d'animatrice de téléphone rose, déguisée en assistante administrative.
Et j’adore ça.
Depuis cet appel, je ne suis plus la même.
Il a suffi d’un déclencheur, d’un orgasme discret sur ma chaise de bureau, pour que quelque chose se fissure en moi. Avant, je jouais à la femme sérieuse, coincée entre deux fichiers Excel et des commandes à passer. Mais aujourd’hui, j’ai des envies qui dégoulinent entre mes cuisses dès que le téléphone sonne.
Je deviens l’hôtesse que je n’ai jamais osé être. Pas officiellement, non. Mais dans ma tête, dans mon corps, dans mes tripes… je suis une salope du téléphone rose infiltrée dans un bureau propre.
J’ai commencé à m’organiser. Je porte des jupes encore plus courtes. Des culottes fines, souvent trempées avant midi. Je laisse mon soutien-gorge à la maison certains jours. Et surtout, j’écoute. Les voix, les silences, les hésitations de certains hommes au bout du fil. Et lui, toujours lui, ce client à la voix chaude, qui me fait jouir rien qu’en disant « bonjour ».
À chaque fois qu’il appelle, j’ai le même rituel.
Je ferme la porte vitrée de mon bureau. Je baisse la lumière. Je mets mes écouteurs filaires, comme si c’était un simple appel professionnel. Mais ce n’est pas pro. C’est tout le contraire.
Je m’installe, jambes bien ouvertes. Je baisse ma culotte sans même y penser. Elle est déjà humide. Mon doigt se cale entre mes lèvres, comme un réflexe. Je suis prête. Mon sexe réclame ce moment. Cette tension. Ce plaisir coupable.
Il me parle de son projet, de ses besoins, de ses délais. Et moi, je me frotte. Lentement. Mon clito pulse contre ma paume. Je sens le jus s’écraser sur ma main, je me doigte sans retenue. Je suis là, la tête dans le plaisir au téléphone, le sexe dans la moiteur, et la voix dans l’oreille. Il ne sait rien. Ou peut-être qu’il sait tout. Peut-être qu’il sent quelque chose. Peut-être qu’il entend ma respiration plus lourde, plus chaude, ce soupir étouffé que je retiens quand je me fous deux doigts bien profonds.
Ce n’est pas un simple appel. C’est une session de sexe au téléphone déguisée en point client. Et moi, je suis une hôtesse invisible, immergée dans mon fantasme, mon délire, ma perversion de secrétaire bien sale.
Le plus fou, c’est que je commence à le faire avec d’autres.
Pas seulement avec lui. N’importe quelle voix un peu virile, un peu autoritaire. Un client un peu dominateur. Un ton sec, un mot glissé dans une phrase, et je deviens toute chose. Ma chatte s’ouvre. Je sens le jus couler. Et je m’offre, là, en silence, à travers ce téléphone qui devient une extension de moi. Ce combiné est mon god. Mon partenaire. Mon amant.
Je me suis surprise à mouiller dès la première sonnerie. Mon corps anticipe. Mon cul serre le bord du fauteuil, mes tétons durcissent. J’ai déjà envie. Avant même d’entendre la voix. Comme une chienne en chaleur à l’affût de sa dose.
Et puis, il y a eu cette fois où j’ai glissé trop fort.
Je m’étais mise nue, entièrement. Les stores tirés. Ma robe posée sur le radiateur. Je bossais en string et en soutien-gorge transparent. Le téléphone a sonné. C’était encore lui. Mon client préféré. Je me suis allongée sur le sol moelleux du bureau, jambes écartées, téléphone sur haut-parleur. Il ne pouvait rien voir. Mais moi, je le vivais comme un show. Un fantasme érotique total.
J’ai enfoncé mes doigts si profondément que j’en ai crié. Pas fort, mais assez pour que ça s’entende. Une espèce de gémissement brutal, incontrôlé. J’ai continué, malgré tout. Mon cul levé vers le plafond, mon sexe dégoulinant. J’étais une hôtesse live. Mon propre fantasme. Une bête.
Après l’appel, j’ai rampé jusqu’au fauteuil. Ma chatte palpitait encore. J’ai léché mes doigts sans réfléchir. C’était bon. C’était sale. C’était moi.
Et ce n’était que le début.
Je me suis mise à rechercher cette excitation chaque jour. À me caresser dès que je le pouvais. Pendant les réunions sur Zoom. En pleine rédaction de rapport. Même dans les toilettes. Mes doigts connaissent mon corps par cœur maintenant. Je suis une pro du plaisir solitaire.
C’est ça aussi, le sexe au téléphone : pas seulement des mots. C’est une connexion invisible, une tension dans l’air, une jouissance à distance qui ne dépend que de moi. Un fantasme auditif, presque bestial. Et dans mon bureau, dans cette entreprise où tout semble lisse… je suis l’envers du décor. La petite salope de l’étage.
Un jour, je suis tombée sur un site de téléphone érotique. Je ne cherchais pas ça. Mais en cliquant, j’ai vu. Des annonces. Des femmes comme moi, qui offraient leur voix, leur plaisir. J’ai compris que ce que je faisais en cachette, d’autres le faisaient pour de vrai. Et l’idée m’a obsédée. J’ai commencé à imaginer : et si je me lançais ? Et si, après les appels clients, je répondais à d’autres ? Pour de l’argent. Pour le frisson. Pour entendre des inconnus jouir en m’écoutant respirer.
Je me suis enregistrée un soir, seule, nue, dans mon lit. Juste ma voix. Quelques gémissements. Des mots crus, cochons, chuchotés. Puis j’ai écouté. Et j’ai mouillé.
Je crois que je suis faite pour ça. Pour cette sensualité sans contact. Pour cette puissance qui passe par la voix. Je suis une salope d’oreille. Une cochonne invisible.
Et dans ce bureau, entre les appels de clients respectables et les tableaux Excel, je suis en train de me transformer. D’éclore. De devenir une autre.
La version débridée de moi-même.
Il suffit qu’il appelle pour que ma chatte coule…
La secrétaire se transforme en animatrice de téléphone rose



