Dîner fétichiste en famille

Initiation au fétichisme

Sarah

10/2/20243 min read

Je me rends ce soir à un diner de famille. Ma tante prépare un couscous afin de tous nous réunir. Mes parents sont là ainsi que mon frère et ma sœur. Mon frère a amené un copain à lui. Ma tante, en bonne hôtesse, l’accueille les bras grands ouverts. Pour cette soirée, je me suis donc vêtue d’une robe à bretelle courte et légère de couleur bleu turquoise et au pied, je porte de petites mules noires à talons. Celles-ci laissent apparaître mes orteils vernis en rouge. Nous commençons par prendre l’apéritif. Nous sommes sur la terrasse. C’est une chaude nuit d’été. Le copain de mon frère vient se présenter à moi. Il se nomme Bastien. Il est plutôt charmant. Il me regarde droit dans les yeux. C’est un peu déstabilisant. Mais après les présentations, on commence à plaisanter ensemble et j’ai l’impression que l’on s’apprécie. Tout à coup, je le surprends à regarder mes pieds. Je lui exprime ma surprise. Il me dit que j’ai de belles chaussures. Je le remercie d’avoir remarqué cela. Puis s’en suit de nombreuses questions sur mes pieds. Quelle est ma pointure ? Est-ce que je mets tout le temps du vernis rouge ? Est-ce que je ne mets que des chaussures à talons ? M’arrive t’il de mettre mes baskets sans chaussettes ? Enfin cela m’a semblé très bizarre. Mais je ne lui fais pas plus remarquer. Je réponds à chaque fois avec étonnement mais mes réponses ont l’air de l’enthousiasmer. Si parler de mes pieds le ravi alors qui suis-je pour juger ? A un moment donné, il a fait tomber son roulé saucisse par terre. Il a fallu qu’il se baisse à mes pieds pour le ramasser. J’ai senti qu’il s’attardait sur mes pieds. Je pense même avoir ressenti une caresse. Cela ne m’a pas du tout déranger. Par conséquent, je ne lui ai pas fait remarquer. J’ai fait comme si de rien n’était

Arrive le moment de se mettre à table. Je dis à Bastien de se mettre en face de moi de façon à ce qu’on ait plus de facilités à se parler. Il consent et s’assoit face à moi. Au fur et à mesure du repas, nous rigolons encore et devenons très complices. Une idée me vient. J’ai une soudaine envie de jouer. Je commence à enlever une chaussure et à caresser la cuisse de Bastien avec mon pied. Avec les yeux, je lui fais signe de regarder sous la table. Il regarde et à la vue de mes pieds, j’ai senti qu’il commençait à bander. Je demande discrètement à Bastien de sortir sa bite sous la table. Je jette ma serviette par terre avec ruse et en la ramassant, je constate que Bastien a effectivement sorti sa bite. Je m’installe sur ma chaise de façon à pouvoir atteindre sa queue avec mes pieds. Je sens qu’elle est grosse. Elle durcit de plus en plus au contact de mes petits petons. Je commence donc à le branler avec mes pieds. Il aime ça. Son visage fait toute sorte de grimaces. Il essaie de ne pas attirer l’attention des autres convives mais cela n’a pas l’air évident. Ma tante le regarde avec insistance et lui demande si c’est trop épicé. J’esclaffe de rire. Je sais très bien que les mimiques sur son visage ne sont pas dues au couscous mais a cette excitation sexuelle qu’il essaie de réfréner. Pour sortir de cette conversation délicate, Bastien répond que le plat est un petit peu épicé pour lui. Elle lui demande donc d’aller chercher une carafe d’eau dans le frigo. Je le vois rougir. D’autant que durant tout cet échange je continue à le branler. Je ne lui facilite pas la vie. Il ne peut pas se lever. Tout le monde verrait, même à travers son pantalon, cette gaule énorme qu’il a. Il faut que je lui sauve la vie. Je crie donc à ma tante que je vais y aller parce que Bastien ne sait pas où se trouve le frigo. Une fois la carafe sur la table, je reprends la bite de Bastien entre mes pieds et continue à le branler. Doucement puis rapidement. À nouveau doucement puis rapidement. Le changement de rythme le rend fou. Je le lis sur son visage. Je ressens beaucoup d’excitation. Tout le monde parle autour de nous mais cela ne nous perturbe pas. Bastien est de plus en plus rouge. Je sens, tout d’un coup, du liquide sur mes orteils. Bastien a joui et a giclé sur mes pieds. Je continue à caresser sa bite avec mes pieds comme pour étaler le sperme. Je jette à nouveau la serviette sous la table. Je vais sous la table pour la ramasser puis je me dirige vers la queue de Bastien. Il y a du sperme partout. Je la mets dans ma bouche. Je lèche tout le sperme. Personne ne remarque réellement mon manège. Comme un bon repas de famille, celui-ci est animé par les cris et les rires. Néanmoins, je fais vite et me rassois à ma place. Je fais un clin d’œil à Bastien et reprend mon repas. Tout ceci m’a affamé.

Dîner fétichiste en famille