Dans le secret d’une consultation particulière : le médecin fétichiste et sa patiente salope

Consultation hot chaude et torride

Câline

12/12/20243 min read

La salle d’attente était calme, baignée par la lumière tamisée d’un après-midi d’automne. Marie, une jeune femme au regard espiègle et à l’élégance naturelle, attendait son tour, feuilletant distraitement un magazine. Lorsque la porte du cabinet s’ouvrit, le médecin, un homme à l’allure soignée et au regard perçant, apparut, un sourire professionnel aux lèvres.

— Madame Lefèvre ? Vous pouvez entrer.

Marie se leva, ajustant sa robe légèrement trop courte laissant deviner sa petite chatte car elle ne portait pas de culotte, consciente du regard furtif que le docteur posa sur elle. En entrant dans le bureau, elle remarqua l’ambiance chaleureuse, presque intime, de la pièce.

— Alors, qu’est-ce qui vous amène aujourd’hui ? demanda-t-il, tout en prenant place derrière son bureau.

— Rien de bien grave, répondit-elle, une pointe de malice dans la voix. Je ressens juste un peu de tension… peut-être pourriez-vous m’aider à me détendre ?

Le médecin releva la tête, surpris par le ton de sa patiente. Il fronça légèrement les sourcils, mais un sourire imperceptible naquit sur ses lèvres.

— Très bien, examinons cela. Vous pouvez retirer votre veste et vous installer sur la table d’examen.

Marie obéit lentement, ses gestes volontairement empreints de nonchalance. Elle sentait le regard du médecin suivre chacun de ses mouvements. Lorsqu’elle s’assit sur la table, il s’approcha, stéthoscope en main.

— Respirez profondément, demanda-t-il en posant l’instrument froid sur sa poitrine.

Elle obtempéra, mais ses yeux ne quittèrent pas les siens. Une tension palpable s’installa dans la pièce, une tension qui n’avait rien de médical.

— Votre cœur bat vite, fit-il remarquer en levant un sourcil. Vous êtes nerveuse ?

— Peut-être… ou peut-être est-ce autre chose, murmura-t-elle, un sourire au coin des lèvres.

Le médecin posa son stéthoscope et croisa les bras, son regard devenant plus intense.

— Vous savez, je suis là pour vous aider, mais il faut être honnête sur vos symptômes.

— Oh, je suis tout à fait honnête, répondit-elle, un brin provocatrice. Ce n’est pas mon cœur qui me fait souffrir, docteur.

Surpris par son audace, il resta silencieux un instant, analysant la situation. Il s’approcha davantage, ses mains posées sur le bord de la table.

— Et que voulez-vous que je fasse, exactement ?

Elle glissa ses doigts sur sa chemise blanche, effleurant le tissu impeccablement repassé.

— Peut-être devriez-vous m’examiner… plus en détail, proposa-t-elle avec un ton mêlant assurance et désir.

Le médecin inspira profondément, sentant son professionnalisme vaciller face à la tentation. Il savait qu’il franchirait une limite, mais l’atmosphère enivrante et l’attitude séductrice de Marie rendaient la situation irrésistible.

Il posa délicatement une main sur son épaule, ses doigts glissant légèrement vers son cou.

— Je ne suis pas sûr que ce soit dans le cadre de mes compétences, murmura-t-il, son souffle effleurant sa peau.

— Et si nous faisions une exception ? insista-t-elle, ses yeux pétillant de malice.

Il céda, son éthique laissant place à un désir brûlant. Ses lèvres trouvèrent les siennes dans un baiser aussi passionné qu’inattendu. Marie répondit avec une fougue égale, ses mains explorant la carrure imposante de son médecin.

— Vous avez des talents cachés, docteur, murmura-t-elle en retirant doucement ses talons. Peut-être devriez-vous examiner aussi mes pieds ?

Son ton espiègle laissa place à une audace maîtrisée. Le médecin, légèrement troublé, s’agenouilla instinctivement, effleurant la courbe délicate de ses chevilles. Sa fascination pour ses pieds devint évidente, une révélation qu’elle accueillit avec un sourire.

— Je crois que vous êtes un fétichiste des pieds, docteur, taquina-t-elle en croisant ses jambes.

Il répondit par un sourire coupable, mais son regard brûlant en disait long. La tension accumulée éclata dans cet échange, où chaque geste devenait une promesse non formulée.

Lorsqu’ils se séparèrent enfin, essoufflés et troublés, elle lui adressa un regard complice.

— J’espère que vous êtes satisfait de ce… traitement, dit-il avec un sourire en coin.

— Oh, docteur, je crois que je vais devoir revenir très bientôt pour un suivi, répondit-elle en ajustant sa robe, l’air d’une salope qui assumait pleinement ses désirs.

Elle quitta le cabinet, laissant derrière elle un homme marqué par cette rencontre imprévue. Quant à elle, elle savait qu’elle venait de vivre une expérience qu’elle ne pourrait oublier.

Le téléphone rose devenait alors son refuge, un espace où elle racontait ses aventures avec ce mystérieux médecin à une voix complice, revivant chaque détail avec un plaisir renouvelé. Ses auditeurs, captivés par ses récits de fantasme médical, attendaient chaque nouvel épisode de ses confidences, plongeant avec elle dans cet univers où le fantasme et la réalité se confondaient délicieusement.

Dans le secret d’une consultation particulière :
le médecin fétichiste et sa patiente salope